• On n'a pas tous les jours 20 ans!!!

    ça nous arrive qu'une fois!

    Il y a 20 ans naissait la plus adorable petite chatte que j'ai baptisée Iris, mais que j'appelle Fifille! elle est douce, gentille  elle est restée

    De gros bisous à ma Fifille !

    Bonne journée et gros bisous à vous tous

     


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  • la St Félix

    Coucou, c'est nous, les chats de votre amie Sissi; aujourd'hui nous prenons la place de notre maman, pour souhaiter une bonne fête à tous les minous qui partagent votre vie! Continuez à nous chouchouter comme vous le faites si bien, et nous, nous vous aimerons d'autant plus!!!

     


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  • Imaginez que chaque matin, une banque vous ouvre un compte de 86400 €

    Simplement, il y a deux règles à respecter.

    La première règle est que tout ce que vous n'avez pas dépensé dans la journée vous est enlevé le soir. Vous ne pouvez pas tricher, ne pouvez pas virer cet argent sur un autre compte, ne pouvez que le dépenser mais chaque matin au réveil, la banque vous rouvre un nouveau compte, avec à nouveau 86400 € pour la journée.

    Deuxième règle :

    La banque peut interrompre ce "jeu" sans préavis ; à n'importe quel moment elle peut vous dire que c'est fini, qu'elle ferme le compte et qu'il n'y en aura pas d'autre. Que feriez-vous ? A mon avis, vous dépenseriez chaque euro à vous faire plaisir, et à offrir quantité de cadeaux aux gens que vous aimez. Vous feriez en sorte d'utiliser chaque euro pour apporter du bonheur dans votre vie et dans celle de ceux qui vous entourent.

    Cette banque magique, nous l'avons tous, c'est le temps !

    Chaque matin, au réveil, nous sommes crédités de 86400 secondes de vie pour la journée, et lorsque nous nous endormons le soir, il n'y a pas de report.

    Ce qui n'a pas été vécu dans la journée est perdu, hier vient de passer.

    Chaque matin, cette magie recommence. Nous jouons avec cette règle incontournable : la banque peut fermer notre compte à n'importe quel moment, sans aucun préavis ; à tout moment, la vie peut s'arrêter. Alors qu'en faisons-nous de nos 86400 secondes quotidiennes ?

    "La vie est courte, même pour ceux qui passent leur temps à la trouver longue"…

    ... alors profitez-en !


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  • l'offensive de la neige

    Eh oui, la neige recouvre une bonne partie de notre pays, paralysant les moyens de transport aussi bien à terre, que dans le ciel

    Alors, profitez de votre dimanche à la maison pour vous reposer

    comme vous pouvez le voir, je ne m'aventure pas dans mes escaliers!!! je ne les vois presque plus

     


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  • Comme le frois a décidé de s'installer et pour vous divertir un peu, je vous propose un peu de lecture:

    LES PERLES POLICIÈRES...

    Il lui bottait le derrière à tour de bras.

    Il était cloué sur son lit d'hôpital par deux coups de couteau au bras.

    L'homme était assez lucide pour constater qu'il n'avait plus toute sa lucidité.

    Le motif du vol était le meurtre.

    Il rédigea lui-même par écrit son témoignage oral.

    Ayant perdu les deux bras, le conducteur faisait de grands signes pour attirer l'attention des autres automobilistes.

    Bien que nous étions 5 à encercler l'homme, celui-ci réussit à s'enfuir sans difficulté.

    Toutes les entrées de la femme étant verrouillées, les deux cambrioleurs la pénétrèrent par le devant.

    Le récidiviste n'avait jamais rien eu à se reprocher.

    Le mur avançait à grand pas vers le véhicule.

    La disparition de l'enfant a été signalée par ses parents dès son retour.

    La femme essayait de cacher son identité derrière ses larmes.

    Les recherches ont permis de retrouver rapidement les 5 cadavres des 2 disparus.

    Personne n'ayant donné les ordres nécessaires, il n'était pas difficile d'y obéir.

    Soudain, la voiture recula pour mieux avancer.

    Le pendu est mort noyé.

    Le cadavre ne semblait pas en possession de toutes ses facultés.

    Arrêté par les enquêteurs, le voleur les a menacés d'appeler la police.

    Il est à noter que les deux véhicules sont entrés en collision l'un avec l'autre exactement le même jour.

    Le plaignant, visiblement en état d'ébriété, prétendait s'appeler Jésus et signa le formulaire d'une croix.

    Si nos policiers n'étaient pas intervenus, le viol n'aurait sûrement jamais eu lieu.

    L'homme qui était aussi sourd que son épouse, ne semblait pas s'entendre très bien avec elle.

    Nous avons donc pu constater qu'il n'y avait rien à constater.

    Ses explications étaient si embrouillées que nous avons dû le relâcher, faute d'avoir la preuve que nous pouvions comprendre ses explications.

    C'est la pluie qui empêcha le policier de s'apercevoir qu'il neigeait.

    L'homme nous raconta toute la vérité qui n'était en fait qu'un tissu de mensonges.

    Pendant tout l'interrogatoire, l'homme n'a cessé de nous dévisager avec ses propres yeux.

    Maîtrisé par nos soins, l'homme s'est enfui à toutes jambes, malgré sa jambe artificielle qui s'était décrochée.

    Les neufs coups de couteau sur le cou et le visage de la victime laissaient croire à une mort qui n'était pas naturelle.

    L'homme n'accepta de signer la déposition que du bout des lèvres.

    La tête ne lui tenait plus que par la peau du derrière.

    Le coup porté à bout portant lui a enfoncé la moitié des dents dans les oreilles.

    Le défunt a formellement reconnu son agresseur.

    La mer était sa terre natale.

    Le suspect étant sans domicile fixe, les policiers purent le cueillir quand il sortit enfin de chez lui.

    L'homme avait suffisamment gardé la tête froide pour ranger soigneusement les morceaux de corps au congélateur.

    Mort sur le coup, l'homme avait déjà été victime d'un accident identique l'an dernier.

    Percé de plusieurs balles, le cadavre flottait quand même dans la rivière.

    La victime, blessée à une jambe, est venue jusqu'à l'auto-patrouille en copulant sur une jambe.

    Comme il devait être pris en charge au plus vite par un asile d'aliénés, il a été conduit au poste de police.


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